Lorsque les tics s’invitent sur les terrains de tennis

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Lorsque les tics s’invitent sur les terrains de tennis

Les joueurs et joueuses professionnels sont soumis à une pression phénoménale dans les plus grands tournois du monde où la peur du ridicule est féroce. De ce fait, pour rester absolument dans sa bulle en faisant abstraction du reste (adversaire, public, conditions météorologiques), les tennismen et tenniswomen usent et parfois abusent de tics. BESIDE SPORT a décidé de revenir sur les tics les plus marquants que l'on a pu observer sur les courts de tennis des quatre coins du globe !

Rafael Nadal, le numéro 1 mondial incontestable des tics

Tirage de short, bouteilles alignées d’une certaine manière, sprint avant le début du match…on en passe et des meilleurs. On laisse encore Yann Barthès et son Petit Journal vous faire un récapitulatif hilarant !

Les cheveux comme anti-stress

Avant chaque service, Maria Sharapova remet instinctivement ses cheveux derrière ses oreilles même si pas un poil ne dépasse. Quant à Mary Pierce, elle a excédé bien des publics en triturant sa natte pour se recoiffer avant de servir. Mais là encore, Nadal est le maître en la matière. Observez Novak Djokovic imiter la belle Maria !

Un problème d’angle

L’Allemand Nicolas Kiefer était connu pour toucher, entre chaque point, l’angle des lignes avec le bout de sa raquette.

 

Non, non, « Boum Boum » ne s’ennuyait pas !

Boris Becker faisait des bâillements de carpe pendant les matchs.

Pete, un problème de cordage ?

Pete Sampras a passé sa vie de champion à replacer les cordes de sa raquette qui n’avaient sans doute pas bougé.

La balle magique

Voilà un rituel qui se répète chez plusieurs joueurs : rejouer avec la balle avec laquelle on vient de gagner un point…Les adeptes s’appellent Richard Gasquet, Conchita Martinez ou encore Goran Ivanisevic. Avec une petite particularité pour le dernier cité qui réclamait la balle avec laquelle il venait de faire un ace. Cette demande à un jour jouer un mauvais tour à l’Espagnole Conchita Martinez. En effet, en demi-finale de Charleston en 2007, son adversaire, la Suissesse Patty Schnyder usa de sadisme en mettant ostensiblement dans sa poche la balle qui venait de faire le bonheur de l’Espagnole. La poignée de main tourna à l’aigre avant un crêpage de chignon dans les vestiaires.

Dominika Cibulkova se la joue « nez » !

Si l’on croit que la Slovaque embrasse les balles lorsque celles-ci sont neuves, en fait, celle-ci les sent car elle adore leur odeur.

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BS

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